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33 Commentaire(s)
Hello,
Si aucun référenceur n’en parlait et si depuis quelques jours pas mal de tests SEO ont lieu concernant ce facteur de ranking, c’est juste parce qu’un test aux USA a mentionné son impact sur le ranking. Du coup, tout le monde en parle depuis 10 jours et c’est devenu important pour tous les référenceurs. Alors que logiquement un résultat qui obtient d’avantage de clics, notamment quand il n’est pas premier ou second, c’est assurément un résultat de qualité ! Et ceux, depuis le début de Google -_-
Salut,
Oui, je mentionne ce test dans l’article qui est plus orienté sur la quantité des clics que la qualité… Mais je trouve cela étrange que peu monde l’ait évoqué avant ce test. Mes collaborateurs savent que je n’ai que ce mot à la bouche avant de parler de liens et d’optimisation structurelle 😉
Salut Max,
Personne n’en parle ou n’en fait mention peut-être justement parce que ça peut vraiment conférer un avantage ? Peut-être aussi parce qu’il n’y a pas d’outil sur le marché pour simuler des comportements utilisateurs ? Je me rappelle d’un expert en référencement autoproclamé très en vue dans le milieu SEO français qui m’avait rembarrée sur cette question avec un « Si personne n’en parle c’est que ça n’influe pas sur les positionnements. » – ça m’avait bien amusée à l’époque et je m’étais dit « tant mieux si tout le monde pense ça, ça nous laisse de l’avance. »
Nous avons développé un outil pour 3 de nos clients en 2009 et c’est une démarche quand même assez coûteuse, non seulement en coût de développement (~25 K€) mais aussi parce qu’il faut une bardée de proxys, sachant que les clients pour lesquels on le fait tourner sont positionnés sur des requêtes tapées plusieurs centaines de milliers de fois en exact-match tous les mois. On n’est vraisemblablement loin d’être tout seul à utiliser ce genre de tools en dév perso aujourd’hui et Google s’est plusieurs fois adapté entretemps, en ne prenant plus en compte les internautes connectés via un proxy par exemple, ou qui n’ont pas le profil d’utilisateurs réels, chose que Google sait parfaitement évoluer maintenant. Du coup, on déploie aujourd’hui d’autres moyens pour amener des internautes à taper en masse une requête donnée et atterrir sur le site du client via cette requête, chercher quelque chose de précis sur le site, etc. Je ne peux pas en dire plus mais il suffit d’un peu d’imagination pour deviner ce qu’on peut faire.
Bon courage à tous !
Amicalement,
Floflo du lac.
Que dire de plus ? Je suis à 100% d’accord avec ton article. Je rejoins notamment ton point de vue sur le fait que Google n’utilise pas les données Analytics ou Chrome et que par conséquent, ce que tu appelles SERP Bounces, et certainement le meilleur indicateur de pertinence. Pour ma part, j’ai toujours utilisé le terme pogostinking, mais l’idée est la même.
En fait, tu nous conseilles de faire ce que Google prêche depuis des années : faire son site pour l’utilisateur et pas pour le moteur, non ?
en tout cas très bon article qui fait réfléchir à un point tellement logique que très peu de monde y aura pensé
Carrément 😀
Sauf que le discours de Matt Cutts est un peu plus ambigu, il dit de faire un site pour les internautes, dans le but d’obtenir des liens naturels (ce qui arrive rarement…).
Moi je dis plutôt que ça ne sers à rien de travailler +/- artificiellement les liens et bosser à fond la structure du site si le site n’est pas fait pour l’utilisateur.
Serp Bounce ou Pogo-sticking, c’est une donnée précieuse et riche d’enseignement mais qui est très fluctuante. Je pense que l’impact est amoindri si on consulte les Serps de façon non ceonnect-ée à son compte. Ce qui revient à dire que la bulle de personnalisation de Google, une fois connecté, tient compte de ce facteur de manière plus importante. Malgré cela, est-ce pour autant un critère fiable ? Sur les requêtes concurrentielles, et donc plus sujettes à des tentatives de manipulation, je pense qu’il doit y avoir une pondération supplémentaire…
Ce pogo sticking semble aussi s’appliquer sur des requêtes non concurrentielles, j’ai plusieurs clients qui sont frappés de ce mal, leur site est hélas inintéréssant pour l’internaute ( pages insipides ), et malgrè l’énorme travail d’optimisation et de netlinking, le site ne tiens jamais en page 1, il retombe inévitablement en page 2 , à chaque fois il faut le ramener par la force brute, je n’aime pas trop ça mais bon, il va falloir rééduquer pas mal de monde sur ce qu’est un « site internet utile »…
C’est clair, et la force brute coûte cher (sans compter ses effets négatifs qui peuvent arriver plus tard)… Parfois plus qu’améliorer son site. Mais comme tu le souligne bien à la fin de ton commentaire, les mentalités sont compliquées à changer…
Plein de +1 !!
Ce critère est primordial dans l’algo à mon avis.
Il est tellement facile à prendre en compte pour Google et tellement significatif à la fois, GG serait idiot de ne pas l’utiliser. D’où l’importance d’avoir des landingpages parfaitement adaptées aux requêtes sur lesquelles ont souhaite se positionner. Si l’internaute est satisfait, Google le sera.
Après, on pourrait discuter sur d’autres critères que tu cites. J’avais fait un peu de prospective ici http://blog.axe-net.fr/google-analyse-comportement-internaute/ Dans certains cas, je ne sais vraiment pas si GG utilise ou pas les possibilités qui lui sont offertes.
Dans d’autres, je dirais plutôt oui. C’est le cas par exemple pour Chrome.
Tu dis dans l’article que tu penses que Google n’utilise pas les données en provenance de ce mouchard, mais tu n’étayes pas alors je ne sais pas trop à quoi m’en tenir 🙂
J’ai quand même testé et pu constater que GG tenait compte de Chrome pour indexer des URL.
On peut donc aisément penser qu’il peut aussi s’en servir pour analyser un taux de clic sur un lien.
Çà serait peu couteux et assez efficace pour juger de l’intérêt des utilisateurs, non ?
Sinon, encore bravo pour cet article !
Merci !
Effectivement, je n’ai pas abordé l’aspect « Landing Pages », vaste sujet qui pourrait faire l’objet d’un autre article car on peut se demander s’il vaut mieux faire une tonne de landing pages spécialisées (qui peut être interprété comme de la suroptimisation par Google) ou une landing page énorme interactive répondant aux besoins de tous les types d’internautes.
Je pense que c’est assez couteux de traiter tout le trafic en provenance de Google Chrome, surtout s’il ne tient compte qu’une partie des données (celui des utilisateurs « trustés »), et que le résultat est le même s’il le fait directement depuis les SERP. D’autant plus que tout le monde n’a pas Google Chrome.
En tout cas c’est plus plausible que l’analyse du trafic de Google Analytics pour le SEO (je n’y crois pas une seule seconde).
Personnellement j’ai tendance à croire que GG met en place des services gratuits pour en retirer quelque chose au final. Donc Chrome, Gmail, GG et tout le reste doivent bien être exploités d’une manière ou d’une autre, et de plus en plus à mesure que le temps passe. La PdM de Chrome en fait un outil tout à fait exploitable pour en tirer des stats et les décliner en actions.
Salut Florence,
Je suis globalement d’accord avec toi sur le fait que les outils de Google ont tous un but précis. Mais je pense que l’utilisation qu’en fait Google pour le SEO est largement surestimée (pas pour l’indexation en revanche).
Au plaisir,
Maxime.
Un article très intéressant sur un aspect pas assez développé à mon gout.
En reprenant l’exemple du chat, je trouve qu’il n’est malheureusement pas toujours aussi si simple d’observer de façon claire, ce type de phénomène et ses retombées. Les actions d’optimisations effectuées sur les sites sont généralement peu isolées, et s’inscrivent dans uns stratégie globale.
@Julien et @Cédric
Merci pour le terme « pogo sticking » que j’avais du lire une fois et que j’ai oublié. Effectivement, c’est le même concept.
Je préfère le terme SERP Bounce pour plusieurs raisons :
-Ils parlent aux webmarketeurs en général vu que ça se rapproche du Bounce Rate
-Il intègre le mot SERP dedans parce que c’est un critère important, ce n’est pas l’expérience utilisateur « en général » mais bien le taux de satisfaction sur une SERP pour un mot clé donné, pour une zone géographique donnée.
@Julien
Je suis plus ou moins d’accord avec toi. J’ai tout de même l’impression qu’il est beaucoup plus simple aujourd’hui, comparé à 2010-2011, de se positionner sur une requête concurrentielle avec un nouveau site, avec un minimum de mentions (des liens de presse et blogs spécialisés), dû au fait que Google essaye de « tester » de nouveaux sites.
Je suis d’accord avec Julien ca marche mieux si nous sommes en mode connecté .
Ca marche très bien, sur de l’actualité un article google news qui sort dans les serps recherche dès que l’actu est fini comme par hasard le site se place ensuite assez bien dans les serps.
@Maxime : pas de souci : c’est en échangeant et en confrontant ses idées qu’on avance ! Je suis en plein expérience en ce qui concerne le fait de positionner sur une requête concurrentielle avec un nouveau site, je te tiendrai au courant des résultats si tu le souhaite 🙂
Oui, j’en serai ravi, merci 😉
Personnellement j’en parlais sur mon blog (cf lien de signature) en 2010 avec, à l’époque, 12 ans de retard puisque le sujet a déjà très largement été soulevé, débattu, infirmé en partie par Google, etc. Depuis sa création.
Ce n’est qu’une toute petite partie, qu’une petite mesure non pertinente permettant de savoir si un internaute à été satisfait d’un résultat.
Avec la navigation privée, le multi onglets, le fait qu’on peut éteindre l’ordi puis reprendre au même endroit plus tard, etc, rien ne serait plus hasardeux que de se baser la dessus.
Ça ne peut qu’alimenter un « faisceau d’indices » comme on dit en matière juridique.
Et puis il y a tellement plus précis comme source de données : données structurelles partagées volontairement dans Google Analytics, adsense, Chrome, google+, Gmail, chrome mobile proxy, etc.
De la lecture 🙂 https://www.google.fr/search?q=pogo+sticking+seo&client=ms-android-htc-rev&espv=1&source=lnt&tbs=cdr%3A1%2Ccd_min%3A1%2F1%2F1999%2Ccd_max%3A2008&tbm=
Oui, c’est quelque chose certainement déjà abordé plusieurs fois mais le fait d’étonner certains professionnels du webmarketing (qui ne s’en doutaient pas) quand j’en parle m’a donné envie d’écrire cet article. Et dans les listing de critères influençant le positionnement qu’on retrouve communément dans les infographies qui « font le buzz », personne n’en parle vraiment.
Je pense qu’on a plus débattu sur les effets des réseaux sociaux sur le SEO que sur la prise en compte de l’expérience utilisateur en provenance des SERP. Et c’est dommage, selon moi en tout cas.
Il n’y a aucun soucis techniquement à gérer le multi onglet, et même d’autres cas plus complexes (cliquer sur un résultat, bug du navigateur, réouverture, taper la même requête, recliquer sur un autre résultat) ou la navigation privée (la pondération doit être différente en fonction de la « qualité » de l’internaute).
Bonjour,
Bel article, mais qu’est-ce qu’un bon taux de rebond ? Quel est la limite selon vous à atteindre pour que la relation bounce/ serp permette une élévation dans le coeur de GG ?
Il n’y a pas de SERP Bound idéal, l’important est d’avoir un SERP Bound meilleur que ses concurrents.
J’attire votre attention sur le terme « légal » utilisé dans votre phrase :
« La question que tout le monde se pose alors : est-ce manipulable ? J’aurai tendance à dire que oui, c’est manipulable, mais plus complexe et moins légal (utilisation de botnets) que les liens. »
Manipuler Google n’est pas illégal.
Evidemment.
Ma phrase n’était peut-être pas claire, j’ai voulu dire que contrairement aux liens, l’utilisation d’un botnet pour manipuler les résultats est illégal. C’est l’utilisation du botnet qui est illégal, pas la manipulation des résultats.
Rien à redire Max, juste un excellent article. Plein de bon sens et de choses dont on devrait parler plus souvent dans la sphère SEO ! Tu n’écris pas souvent sur le blog, mais quand c’est le cas, c’est pas pour rien 😉
je présume qu’il n’y a aucune technique pour mesurer le serp bounce? détection du bouton back du browser en javascript? ou encore détection de sortie du champ « body » ? mais ce ne sont pas des indicateurs 100% fiables… ca pourrait donner la tendance tout au plus.
Oui, c’est trop aléatoire, et impossible de savoir si l’utilisateur est allé cliquer sur un autre résultat des SERP… A moins que vous soyez le seul sur la première page 🙂
Bonjour,
De mon côté la dernière conférence de Bing à laquelle j’ai participé. Bing annonçait plus ou moins officiellement qu’il prenait en compte ce critère. Pour moi c’est une évidence que ce critère est pris en compte.
Jérôme
Excellent article pour moi qui n’avait plus lu quoique ce soit sur le SEO depuis plus d’1 an !
2 questions :
– Le SERP bounce concerne-t-il également les annonces AdWords ? J’imagine que oui…
– Tu dis que les stats GA ne sont pas prises en compte : je pense que c’est un pot de miel trop alléchant pour GG. Il doit bien y jeter un oeil non ? Comment peux-tu dire que ce n’est pas pris en compte avec tant de force ?
Merci Gaëtan !
1) Oui, c’est pris en compte dans le quality score il me semble.
2) Parce qu’il peut faire mieux et moins cher avec d’autres données moins facilement manipulables.
Merci pour tes réponses.
Je viens de tomber sur une vidéo de Matt Cutts répondant à cette question : « Will using Google Analytics have a negative effect on my ranking? »
https://www.youtube.com/watch?v=LLmO1GE4GvI